Ombre, Croisade & Crépuscule
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 Atarinkë Dùath, Fils de l'Ombre.

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Atarinkë Dùath
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Atarinkë Dùath


Messages : 16
Date d'inscription : 24/08/2009

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Race: Demi-Elfe Noir
Classe: Assassin
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MessageSujet: Atarinkë Dùath, Fils de l'Ombre.   Atarinkë Dùath, Fils de l'Ombre. Icon_minitimeMar 1 Sep - 22:11

-Nom / Prénom : Atarinkë Dùath.

-Âge : Né durant l'Hiver de l'année 882, Atarinkë est aujourd'hui âgé de Cent Soixante Quatorze ans.

-Sexe : Masculin.

-Race : Sa mère était une femme de la race des Hommes et son père appartenait au peuple des Elfes Déchus, il en résulte qu'Atarinkë est donc un Semi-Elfe Déchu.

-Classe : Assassin.

-Alignement : Il est difficile de définir avec précision de quel côté de la balance se trouve Atarinkë. Capable de tuer un homme comme une femme, de s'en prendre aux vieillards comme aux enfants, il ne ressent aucun remord à accomplir les termes les plus ignobles de ses contrats. Il ne refusera cependant pas de tuer pour la bonne cause, en éliminant par exemple un violeur récidiviste sévissant dans le quartier. Pour lui, tous les actes sont bons tant qu'il lui rapporte une généreuse compensation. Ainsi l'alignement le plus proche de ce qu'est Atarinkë serait sûrement celui de Neutre-Mauvais.

-Pouvoir(s) / Talent(s) :

~Sens Aiguisés : En raison de sa race et de son entrainement en milieu hostile, Atarinkë a développé des sens très poussés ce qui le rend très difficile à berner et également de voir sur de longue distance ou d'entendre à travers les portes mieux qu'un simple humain ou demi-elfe.

~Fils de l'Ombre : Héritier d'un maître qui fut en son temps le plus dangereux adversaire de tout homme ayant sa tête mise à prix, Atarinkë suivit la formation d'un des plus grands maîtres assassins du monde connu. De cet entrainement dans les terres hostiles, il en retira la capacité à se fondre dans n'importe quel environnement sombre. Ainsi il est capable de devenir parfaitement invisible pour peu qu'on lui offre assez d'ombre pour recouvrir sa propre personne des pieds à la tête.

-Habitude(s) /Préférence(s) : Il est assez intéressant de tenter d'établir une liste de ce que peut aimer un assassin. En effet, l'exploit réside dans le fait de trouver un autre intérêt que l'argent à la vie d'un homme comme Atarinkë. A vrai dire, il n'aime que peu de choses hormis la solitude et une bonne bouffée tirée de sa pipe après chaque contrat. On peut toutefois également noter qu'il apprécie l'ordre, la propreté et le calme. Par contre, il est assez aisé de dresser une liste de ce qu'il n'apprécie pas. Tout d'abord, il n'aime pas les cités imposantes, il n'aime pas les idiots et encore moins les gens imbus de leur personne. Mais ce que déteste par dessus tout cet homme est sûrement la fourberie. Il n'exista en ce monde qu'un seul et unique homme qui tenta lamentablement de doubler Atar. Ardor se réjouit encore aujourd'hui des cris de douleur que poussa cet imbécile durant ses explications avec Atar.

-Histoire / Passé :


Une ombre dans la nuit. Un inconnu dans le vague. Une existence dans les ténèbres. Mes parents ne sont plus. Pour beaucoup je ne suis pas. On a fait du meurtre mon quotidien. Je suis un Fils de l'Ombre, que les Hommes me craignent car je ne suis pas un homme de bien.

Il n'est pas bien dur de le deviner, mais je fus le fruit d'une union sans amour. Pourtant, je ne suis pas sûr que mon Père n'ait pas eu un certain attachement pour ma Mère. Peut-être était-ce le genre d'attachement qu'un homme témoigne à une œuvre d'art de son cru dont il est fier. En tout cas, je suis intimement persuadé que personne n'aurait pu faire de mal à ma Mère sans que mon Père ne l'égorge dans l'instant suivant. Je ne connais pas leurs noms, je me souviens à peine du visage de ma Mère. Mon Père ne me parla que peu d'Elle, il me fallait juste savoir que moi aussi j'aurais à faire un jour ce qu'Il lui fit. En effet, durant une froide nuit d'hiver, il l'enleva à ses parents; elle était tout juste âgée de seize ans. Il l'emmena donc dans la nuit, sans un bruit. Je ne sais pas combien de temps ils restèrent à deux avant qu'il ne la déposa dans ce lieu qui serait sa dernière demeure. Il ne me l'expliqua jamais pourtant je suis certain qu'il lui fit visiter tous les lieux du monde connu. Il lui fit voir le monde avant de lui fermer lui-même les yeux sur ce dernier.

C'est à l'orée de ses vingts-deux ans que ma Mère me donna la vie. Je poussais mon premier cri sous la lumière blafarde de la lune hivernale. Mes yeux s'ouvrirent dans la nuit et j'en tombais immédiatement éperdument amoureux. Il faut dire que ma race m'y prédisposait de moitié. En effet, ma Mère était de sang tout à fait humain, mais mon Père lui était un Elfe Noir de pure souche. J'étais donc un bâtard, voyageant entre deux mondes. D'un côté mortel et de l'autre intemporel, en partie faible et pourtant puissant. Je suis un Demi-Elfe Noir et ce mélange bien que rare me réussit plutôt bien.

L'Hiver 882 fut donc celui de ma naissance. Mon Père assista à cette dernière qui se déroula au cœur d'une île inconnue du Nord. Il repartit dès que ma Mère eut retrouvé assez de force pour m'élever et me nourrir. Ma croissance étant bien plus lente en raison de mon sang elfique, il me fallut huit ans pour atteindre la taille d'un enfant humain de deux ans. Bien sûr, ma Mère ne put me donner le sein durant tout le temps de ma croissance et nous furent bientôt entourés de brebis toutes prêtes à me fournir leur lait. Et puis, un soir de l'Eté 964, mon Père entra sans bruit dans la petite baraque de pierre qui nous servait alors de logis. Quand il en sortit, il me tenait au creux de ses bras et plus aucun cœur ne battait à l'intérieur des quatre murs qui avaient auparavant vibrés au son de mes cris de nourrisson.

Jamais plus on ne revint sur cette île et la route que mon Père nous avait choisi nous conduisit jusqu'à la terrifiante Torachni. Si on devait chercher un mot pour qualifier un homme capable d'emmener un enfant aussi jeune que je l'étais sur cette île, on choisirait sûrement le terme : Fou. Mais cela ne l'empêcha pas pour autant de m'y mener. Sur cette île, il m'éduqua seul durant de nombreuses années. Dès mes trente-deux ans mon père commença mon éducation intellectuelle. Ainsi, il m'apprit à lire, écrire, compter et surtout penser rapidement et justement. Il avait un vieux dicton à lui qu'il répétait tout le temps : un assassin crétin n'est rien d'autre qu'un cadavre qui s'ignore encore. Il attendit ensuite que j'eus atteint la constitution d'un homme de huit ans, c'est à dire après soixante-quatre années de vie, pour débuter ma formation à un niveau plus physique. C'est également à cette époque qu'il m'ordonna de ne plus jamais l'appeler Père et qu'il m'informa qu'il serait désormais mon Maître, en conséquence je me devais de le nommer ainsi pour toujours. Mon entraînement fut on ne peut plus intensif. Dans cet environnement périlleux aux climats extrêmes, mon père m'apprit à me battre dans toutes les situations climatiques. Il m'apprit à me battre à mains nues et le maniement de toutes les armes conventionnels : épée longue ou courte, arc, poignard, arbalète, lance, bâton et armes de jets. Il m'apprit également à mentir, voler, tricher, me dissimuler, me déplacer en silence, bondir comme un loup et courir aussi vite que mes jambes de demi-elfe me le permettaient. Chaque jour, mon Maître me poussait à me surpasser et chaque jour mes entraînements me laissaient les muscles tremblants et la sueur perlant par tous les pores de ma peau. Ce ne furent pas des années tendres, et je ne suis pas sûr qu'il exista ou qu'il existera de formation plus exigeante que celle-ci. En tout cas, cette dernière porta ses fruits et j'arrivais à terrasser mon premier Loup Sanguinaire dès mes quatre-vingts seize ans.

C'est donc dans la sauvagerie d'un monde inhospitalier et dans la constante recherche de la perfection que je grandis jusqu'à atteindre l'âge adulte où m'attendait mon ultime épreuve. Nous étions en pleine hiver et la neige était tombée tous les jours pendant les deux semaines précédents cette nuit. Je venais de revenir de la chasse en ramenant mes trophées quand je trouvais mon Maître l'arme à la main, la capuche de sa cape relevée, tous muscles bandés.

"- Il est maintenant venu le temps de ton test final, Apprenti. Tues moi ou meurs, seul l'un d'entre nous quitteras cette île vivant. N'imagine pas que tu es irremplaçable, j'en ai déjà tué plus d'un comme toi, alors défends toi Atar ! Défends-toi car tu n'auras pas de seconde chances!"

Et sans plus de parole mon Maître s'élança vers moi toutes lames dehors. Le combat dura toute la nuit. Jamais je ne fus obligé de me donner dans un combat autant que je me suis plonger dans celui-ci. Toute ma science du combat fut mobilisée ainsi que toutes mes capacités physiques. Ce n'est qu'à l'aube que mon Maître commis l'erreur fatale. Il lança son bras pour tenter de me couper tout simplement la tête, mais la fatigue étant, il ne parvint pas à faire revenir son bras assez vite pour mettre sa lame en travers du chemin qui séparait mon acier et son coude. Le fil de mon arme était aussi tranchant que le rasoir et elle n'eut pas de mal à pénétrer le tissu, puis la chair. Le membre sectionné tomba mollement sur le sol tandis que mon Maître se contentait de serrer les dents en tenant son bras de sa dernière main valide. Il s'affala contre un arbre, l'hémorragie et la douleur épuisant petit à petit les dernières forces encore en lui.

"-Formidable, tout simplement formidable. Tu as atteint un niveau juste assez supérieur au mien pour me vaincre mais tu en a été tout de même capable. Tu iras loin Atar, je le sais. A présent, tues-moi, mais avant ça je dois te dire que tes affaires t'attendent déjà au campement ainsi que mes dernières directives. Adieu mon Apprenti, sache que ton Maître est fier de toi."

Il ferma les yeux et je perça son cœur d'un coup rapide et efficace qui ne lui laissa pas le temps de souffrir. Je fis comme il me l'avait dis et je découvrais sa lettre dans mes affaires qu'il avait soigneusement préparées avant de m'attendre.

" Si tu lis cette lettre c'est que je ne suis plus et que j'ai été ta première victime. Comme tu le sais, je t'ai formé pour devenir un assassin des plus redoutables comme je l'ai moi-même été. Ce que tu ne sais pas, c'est que tu appartiens à l'une des plus vieilles familles du monde connu. Notre métier, nous le transmettons de génération en génération depuis plus de mille ans. Ainsi, tu es le dernier Fils de l'Ombre encore vivant et tu te devras de faire honneur à ta lignée. Dans ton sac, tu trouveras deux tenues qui seront à présent les tiennes. Une tenue légère de ville et une autre plus lourde prévue pour les voyages sur de longues distances. Tu trouveras aussi deux nouvelles armes. Il y a dans les brassards de tes vêtements deux lames rétractables et parfaitement invisibles. Je suis sûr que tu sauras comment les rendre utiles. A présent, quittes cette île, un bateau t'attends dans une grotte au sud de l'île. Tu te dirigeras vers Krunfast là-bas un client t'attendras. Bonne chance mon Fils et digne Héritier. Que la Nuit notre Mère te garde en son sein."

Je quittais l'île en laissant derrière moi cent cinquante deux années de ma vie. La traversée de l'océan fut aisée de part le temps calme et ensoleillé. Je ne vis personne sur ces eaux malgré la période de guerre. Quand j'arrivais dans le port de la puissante Krunfast, le client m'y attendait déjà et je pris immédiatement du service.

Quatorze années ont passées depuis. Je suis reconnu comme l'un des assassins les plus efficaces de ma génération. J'ai déjà accumulé plusieurs centaines de pièces d'or que je viens de débourser en achetant une petite maison sur un îlot au nord de Krunfast. Je suis actuellement sur les routes, toujours à la recherche d'un emploi. Le monde me connait sous le nom d'Atar, et malgré ma réputation inquiétante nul homme vivant n'a encore jamais vu mon visage. Je suis un Fils de l'Ombre, Engeance de la Nuit, mon ombre est annonciatrice de Mort et ma main aussi ferme que le Monde est grand.


-Personnalité :


Atarinkë est quelqu'un de froid et peu bavard. Même s'il a le parler aisé et beau, il n'use pas souvent de paroles et encore moins pour les étrangers. Pourtant, il possède certaines connaissances fiables avec qui il aime discuter et voir même plaisanter. Dans son travail, il se montre on ne peut plus froid et méthodique. Il ne cesse de traquer son objectif tant que son contrat n'a pas été honoré et il est l'assassin le plus fiable du Monde Connu. Il n'éprouve ni sentiments, ni remords et il n'hésite pas à tuer femme, vieillard ou enfant si cela le lui est demandé. Son principal défaut est sûrement sa confiance en lui-même qui semble parfois le pousser dans des situations périlleuses dont il se sort non parfois sans chance. En bref Atar est un bâtard fiable, peu sociable et téméraire.

-But(s) / Souhait(s) :


Les buts de Atarinkë sont simples : honorer sa famille et accumuler un maximum de fortune pour ensuite en faire ce que bon lui semble. Il n'a pas d'autre ambition que de faire son métier du mieux qu'il le peut et de rester dans les écrits comme étant le plus terrible ennemi de tout homme ayant sa tête mise à prix.

-Physique / Apparence :


En tant que demi-elfe, Atarinkë possède des oreilles légèrement pointues, des traits fins et une musculature fine et élancée. Seulement, son père était un elfe noir de sorte que malgré qu'il ne le soit qu'à moitié, ce détails est bien visible. En effet, sa peau est d'un gris pâle semblable à la pierre, ses iris sont semblables au rubis et ses longs cheveux sont d'un blanc immaculé.

-Comportement :


[ Je sais pas trop ce que je dois y mettre ^^" ]
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MessageSujet: Re: Atarinkë Dùath, Fils de l'Ombre.   Atarinkë Dùath, Fils de l'Ombre. Icon_minitimeMar 1 Sep - 22:17

Atarinkë en Tenue de Ville :


Spoiler:

Sieur Dùath en Tenue de Voyage :


Spoiler:
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MessageSujet: Re: Atarinkë Dùath, Fils de l'Ombre.   Atarinkë Dùath, Fils de l'Ombre. Icon_minitimeMer 2 Sep - 13:46

Époustouflant.
Incroyable.
Epatant.


Je ne m'attarderai pas plus longtemps sur une fiche impeccable : VALIDE !!
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https://oc-c.1fr1.net
Contenu sponsorisé





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MessageSujet: Re: Atarinkë Dùath, Fils de l'Ombre.   Atarinkë Dùath, Fils de l'Ombre. Icon_minitime

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